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Le style unique de Lovecraft au service de trois histoires effrayantes. "LE CAUCHEMAR D'INNSMOUTH" : Que se passe-t-il à Innsmouth ? Pourquoi les gens évitent ses habitants comme s'ils étaient maudits ? Quel secret cache cet ancien port à l'abandon ? Je m'y retrouvais par les hasards d'un voyage... Mais était-ce bien un hasard ?... Et j'y vécus la plus terrible nuit de mon existence ! Je croyais avoir survécu au pire...Mais le cauchemar ne faisait que commencer.

Retrouvé inanimé et en état de choc, Randolph Carter affirme à la police ignorer ce qu'il est advenu de son ami Harley Warren qui reste introuvable après leur expédition nocturne dans un vieux cimetière.

Lors d'un voyage en Europe centrale, un jeune homme découvre l'existence des Vourdalaks, ces morts-vivants, ces vampires reviennent du royaume des morts pour sucer le sang les vivants. Le père de la jeune fille dont il est amoureux serait-il devenu une de ces créatures infernales ?

Que se passe-t-il dans l'ancien port d'Innsmouth ? Pourquoi les gens évitent ses habitants comme s'ils étaient maudits ? Je m'y retrouvais par les hasards d'un voyage... Mais était-ce vraiment un hasard ? Et j'y vécus la plus terrible nuit de mon existence ! Je croyais avoir survécu au pire... Mais le cauchemar ne faisait que commencer !

Fluides et denses, ces cinq conférences données par Freud en 1909 aux Etats Unis à la Clark University du Massachussetts sont une introduction excellente à la psychanalyse freudienne. Ces leçons constituent un résumé concis du savoir qu'il a acquis en quinze ans. Rappel des origines de la psychanalyse avec les travaux sur l'hypnose et l'hystérie en collaboration avec Breuer et introduction aux problématiques centrales.

Egaeus, le narrateur du récit, un jeune homme de milieu aisé se prépare à épouser Bérénice, sa cousine. Tous deux souffrent de maladies étranges... Bérénice dépérit, et Egaeus se met à la percevoir comme un être abstrait. Il devient obsédé par les dents de sa cousine... Cette nouvelle d'horreur est une référence de la littérature du XIX siècle, publiée en 1835 dans le journal Southern Literary. Elle fait partie du recueil les "Nouvelles histoires extraordinaires", traduite en français par Charles Baudelaire.

"Comme c'est triste, murmurait Dorian, les yeux fixés sur son portrait. Oh ! Oui, profondément triste !... Je vais devenir vieux, horrible, affreux !... Mais ce portrait restera toujours jeune. Il gardera l'âge de cette journée de juin... Ah ! Si cela pouvait changer ! Si c'était moi qui pouvais rester jeune, et cette peinture vieillir !... Pour cela, je donnerais tout... Il n'y a rien au monde que je ne donnerais... Mon âme, même !..."