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Dios y Mefisófeles discuten sobre la valía del humano favorito del Todopoderoso, Fausto, un hombre que se ha propuesto aprender todo lo que puede ser conocido. Finalmente, Dios y el diablo hacen una apuesta: ¿Mefistófeles será capaz de desviar a Fausto del camino del bien?

Una obra trágica para muchos iniciática en el hombre romántico y el destino de la humanidad. Publicado en dos partes (1808 y 1832), Fausto es el legendario personaje que ahonda y reflexiona sobre las condiciones de vida del hombre. La constante insatisfacción en su vida lo dirige a vender su alma al diablo, para descubrir los misterios del mundo y conocer los placeres de la vida. Este clásico literario profundiza la parábola entre la ciencia y el poder mediante las cuestiones existenciales entre el bien y el mal, dios y el diablo, y la sexualidad y la mortalidad.

Goethe's masterpiece and perhaps the greatest work in German literature, Faust has made the legendary German alchemist one of the central myths of the Western world. Here indeed is a monumental Faust, an audacious man boldly wagering with the devil, Mephistopheles, that no magic, sensuality, experience or knowledge can lead him to a moment he would wish to last forever.

Faust is one of the pillars of Western literature. This classic drama presents the story of the scholar Faust, tempted into a contract with the Devil in return for a life of sensuality and power. Enjoyment rules, until Faust’s emotions are stirred by a meeting with Gretchen, and the tragic outcome brings Part 1 to an end. Part 2, written much later in Goethe’s life, places his eponymous hero in a variety of unexpected circumstances, causing him to reflect on humanity and its attitudes to life and death.

Nous sommes en 1573. Jean de Kervilliers, devenu Monseigneur l'évêque prince Farnèse, fait arrêter Léonore, sa maîtresse, fille du baron de Montaigues, supplicié pendant la Saint Barthélémy. Alors que le bourreau lui passe la corde au cou, elle accouche d'une petite fille. Graciée par le Prévôt, elle est emmenée sans connaissance vers la prison.

Le mythe de "Faust" raconte l'histoire d'un homme très cultivé qui cherche à comprendre les mystères du monde qui l'entoure. Un jour, il passe un pacte avec le Diable qui lui promet de lui faire connaître tous ces mystères en échange de son âme. Les deux personnages commencent alors à errer dans le Royaume des Ténèbres, jusqu'à la rencontre de Faust avec Marguerite dont il tombe amoureux et dont il va causer la perte.

Nous sommes donc toujours en 1588, sous le règne d'Henri III, en lutte contre le duc de Guise et la Sainte ligue, le premier soutenu par Pardaillan, et le second par Fausta... Sans vous dévoiler les péripéties multiples et passionnantes de cette histoire, nous découvrirons que le duc de Guise et Henri III mourront tous deux (Zévaco, malgré son imagination, ne peut changer l'Histoire...), et que Pardaillan vaincra Fausta.

La reine s'agitait, paraissait vouloir venir se jeter au milieu du débat, apporter à son favori le secours de son autorité de régente. Léonora, plus livide sous les fards que Concini lui-même, poignardait de son regard de feu le petit roi et Pardaillan, cause première de cet esclandre inouï. Et elle excitait sa maîtresse en lui glissant à l'oreille, en italien, de cette voix ardente, et sur ce ton d'autorité auquel Marie de Médicis, jusqu'à ce jour, n'avait jamais su résister.

1590. À Rome, Fausta, après avoir mis au monde le fils de Pardaillan, bénéficie de la grâce du pape Sixte Quint, qui se prépare à intervenir auprès du roi d'Espagne Philippe II dans le conflit qui l'oppose à Henri IV roi de France. Fausta est investie d'une mission auprès de Philippe II : lui faire part d'un document secret par lequel le roi de France Henri III reconnaissait formellement Philippe II comme son successeur légitime sur le trône de France.

Frederick Faust (pen name Max Brand) was said to have written in excess of twenty-five million words as he seemed to have a button to push to generate fictional ideas. Of course, it’s known that much of his work was issued under pen names, around twenty of them, a great many of them wild Westerns. This one that features a drifter named Donnegan. He gets off a train and takes on a job with a rich man who doesn’t seem to care much about the difference between rights and wrongs.

This was the first effort by Frederick Faust aimed at writing a Western, and he used the pen name of Max Brand to produce it. There was a different style of literary focus, a variance that brought forth feelings of melodrama. However, as the story developed, that impression was changed drastically with startling examples of action, conflict, and revenge that set it apart. It was regarded as one of his most successful efforts in a career that produced perhaps as many as 25 to 30 million words, resulting in well more than 500 novels and short stories.