Títulos en Drama y teatro

Récité et commenté par Albert Millaire, apparié aux musiques de Couperin, Duphly ou Balbastre, et interprété au clavecin par Hélène Panneton...

"Twelfth Night, or What You Will" is a comedy by William Shakespeare. The play centres on the twins Viola and Sebastian, who are separated in a shipwreck. Viola (who is disguised as a boy) falls in love with Duke Orsino, who in turn is in love with the Countess Olivia. Upon meeting Viola, Countess Olivia falls in love with her thinking she is a man. Illyria, the setting of Twelfth Night, is important to the play's romantic atmosphere. Illyria was an ancient region of the Western Balkans.

La fille et la nièce d'un bon bourgeois, nommé M. Gorgibus, sont deux pédantes qui ne rêvent que de se voir entourées de beaux esprits.

La disgrâce de don Salluste est prononcée : il doit quitter la cour car il a fait un enfant illégitime à l'une des suivantes de la reine. Obsédé par sa vengeance, il rencontre son neveu César et lui demande de l'aider à l'accomplir, mais ce dernier refuse. Don Salluste va donc faire appel à son valet, Ruy Blas, amoureux de la reine, et lui ordonne de devenir son amant.

Arnolphe prétend qu'une femme ne peut être sage et vertueuse qu'autant qu'elle est ignorante et niaise. Aussi, pour avoir une épouse à sa guise, il fait élever sa jeune pupille, Agnès, au fond de sa maison, sous la garde d'un valet et d'une servante aussi niais qu'elle.

"Julius Caesar" is a tragedy by William Shakespeare. It is one of several plays written by Shakespeare based on true events from Roman history, which also include Coriolanus and Antony and Cleopatra. Although the title is "Julius Caesar", Julius Caesar is not the most visible character in its action ; he appears alive in only three scenes. Marcus Brutus speaks more than four times as many lines and the central psychological drama is his struggle between the conflicting demands of honor, patriotism and friendship.

La pièce donne à suivre les deux dernières journées de la vie de Dom Juan Tenorio, libertin grand amateur de femmes.

Molière illumine de bons mots de nombreuses situations cocasses, parfois irrésistibles ! Célébrons pendant plus de deux heures l'incroyable génie de Molière à travers une sélection incontournable de scènes, tirades et monologues ultra célèbres !

"On ne badine pas avec l'amour" est l'une des pièces les plus célèbres d'Alfred de Musset, et le premier de ses "proverbes". Ecrite en 1833, alors qu'il a tout juste vingt-trois ans, elle porte les traces de sa relation tumultueuse avec la romancière George Sand. Elle fait aujourd'hui partie des pièces Romantiques les plus jouées de par le monde, reprise par les metteurs en scène et les interprètes les plus prestigieux.

C'était en 1956 sur les ondes de France III Nationale, dans "Le théâtre et l'université", une émission placée sous le haut patronage de l'Éducation nationale. On y donnait une version radiophonique du "Dom Juan" de Molière, dans une mise en scène de Jean Vilar, enregistrée en public à Chaillot. Jean Vilar interprétait Dom Juan, Daniel Sorano était Sganarelle, et Monique Chaumette, Elvire. Avec eux sur scène : Georges Wilson, Georges Riquier, Philippe Noiret et Jean Topart.

Pour la première fois sont proposées au public, ensemble, deux des plus célèbres comédies de Jules Romains, "Knock ou le triomphe de la médecine" et "M. Le Trouhadec saisi par la débauche", interprétées par l'auteur lui-même, qui réussit la prouesse de travestir sa voix pour donner vie à ses personnages.

Le comte Roger d'Athol, après la mort de Véra, avec laquelle il a connu "une fusion idéale", demeure si fortement attaché à elle qu'il refuse sa disparition. Par la seule force de son amour, il nie la mort de sa "dame de volupté" et fait comme s'il vivait toujours avec elle. Mais la revenante disparaît à l'instant où il cesse de croire à sa présence et toute l'atmosphère fantastique s'évanouit sur le champ.

Cet audio est constitué de "Boubouroche", "Le Gendarme est sans pitié", "Un client sérieux", "L'Article 330", "Lidoire", "La lettre chargée", "Les Têtes de bois" et "Monsieur Badin".

Cette histoire n'a qu'un mérite qui lui sera peut-être contesté, celui d'être vraie. L'histoire de Marguerite est une exception, je le répète ; Mais si c'eut été une généralité ce n'eut pas été la peine de l'écrire.

Comédie en 3 actes.

En l'absence de leurs pères partis en voyage, Octave, fils d’Argante ainsi que Léandre, fils de Géronte, se sont épris l'un de Hyacinte, jeune fille pauvre et de naissance inconnue qu'il vient d'épouser, le second de la "jeune Égyptienne" Zerbinette.

Représentées pour la première fois au théâtre du Palais-Royal le 12 mars 1672, "Les femmes savantes" fut un succès, car le registre de La Grange indique que, de cette date au 5 avril, la comédie fut jouée onze fois avec des recettes satisfaisantes. Si, avec "Les femmes savantes", Molière a atteint un degré de perfection qu'il ne pouvait plus dépasser, c'est qu'il s'y efforça avec obstination ; autant pour prendre sa revanche de tant d'ouvrages faciles que le caprice royal l'avait contraint à "bâtir sur l'heure", que pour confondre ses détracteurs qui l'accusaient de "bâcler"...!

"Ubu", présenté pour la première fois au public en 1888, ne pouvait que grandir pour devenir un symbole esthétique et moral et toucher de nombreuses générations de spectateurs. L'affreux bonhomme n'a d'ailleurs même pas besoin de la scène : il apparaît rapidement comme une référence, le terme "ubuesque" entre rapidement dans la langue. Quelques jours après la création, on apostropha le président du conseil pour le traiter de "Père Ubu".

Ce cloaque, geôle suprême du fric-frac ; De l'ampoule qu'enjôle à l'extrême de l'enroule Et je rêvasse à l'Éole qu'essaime ma tignasse... À l'adresse de la tôle indemne, se dresse. Déjà l'envie du ressac indique la saga suivie : L'aiguille qu'encaque qui pique et qui brille En traître traque applique et pénètre La veine en vrac d'une unique mais pleine Seringue ; à sac elle nique, c'est dingue ! J'arrache du tac au tac un fantastique flash !

"Presque trois siècles séparent Molière et Louis Jouvet. Pourtant leurs destins sont extraordinairement similaires. Ces deux hommes de théâtre, chefs de troupes, metteurs en scène, ambassadeurs du théâtre populaire, se sont tous deux épuisés à la tâche. Il s'en fallut de peu qu'ils ne meurent en scène."