-
Les liaisons dangereuses
- Narrado por: Ludmilla Mikael, Didier Sandre
- Francés
- Duración: 11 horas y 47 mins
No se ha podido añadir a la cesta
Error al eliminar la lista de deseos.
Se ha producido un error al añadirlo a la biblioteca
Se ha producido un error al seguir el podcast
Error al dejar de seguir el podcast
Escúchalo ahora gratis con tu suscripción a Audible
Compra ahora por 63,99 €
No se ha seleccionado ningún método de pago predeterminado.
We are sorry. We are not allowed to sell this product with the selected payment method
Resumen del editor
Dès leur parution en 1782,
Les liaisons dangereuses connaissent un engouement, une vogue qui ne se dément pas. Bonheur des mots, passion d'une intrigue conduite comme un drame classique,
Les liaisons conduisent dans les méandres du cœur humain, pétri d'amour et de vanité, mais aussi au sein d'une société marquée du double sceau de la frivolité et de la destruction.
Entendre
Les liaisons dangereuses, c'est plonger dans l'univers obscur des âmes avec, pour seul guide, son libre arbitre. Il faut faire table rase de tous préjugés, moraux ou idéologiques, et être prêt à frôler, jusqu'à l'ivresse, la perte...
Une lecture en forme de marche horlogère - tout est en place pour l'exquise mécanique. Ludmilla Mikael, en très élégante mais implacable Mme de Merteuil, engage la pique acérée de sa plume avec le Vicomte de Valmont. Ce dernier, par la voix de Didier Sandre, réplique pas à pas. Il y a du duel, sous les froissements de la soie, il y a des claquements affreux dans le bruissement des parquets. Chaudes, allantes, mais déterminées comme une tactique militaire, comme un chef d'œuvre de maîtrise, les réponses de Valmont esquissent la fascinante gestuelle d'un classicisme parfait. Mais ce ballet-là qui est celui du désir, est celui de la mort aussi.
(P)200 1
Reseñas de la crítica
"Laclos révéla les rêves de son temps en leur donnant vie. En les faisant entrer dans le domaine des rêves de tous, celui où les hommes promis à la mort contemplent avec envie les personnages illusoirement maîtres de leur destin."
André Malraux